"Je pense à Sampieru di Bastergà, plus connu sous le nom de Sampiero Corso. Il en a livré des batailles contre les génois. Je l’entends encore s’écrier : « Frères, je n'ai pu supporter de vous voir encore une fois réduits à la servitude, de voir les Génois, n'écoutant que leur rancune, égorger chaque jour quelques-uns d'entre vous sous de vains prétextes et se gêner si peu pour nous faire sentir notre propre lâcheté...»

 

Ce qu’il ne supporte pas non plus, c’est d’imaginer que sa femme Vanina d’Ornano le trahisse en s’alliant aux Génois. Il la tue de ses mains. Il est victime d’une vendetta, une vengeance, orchestrée par les Ornano. Sa tête et une des jambes sont clouées sur mes remparts."